THÉÂTRE

Samedi 11 Janvier à 20h45

LES RITALS

- Cie La Revue Radici -

En collaboration avec La Dante Alighieri
Avec Bruno Putzulu

« Le bonheur populaire, la noblesse des gens de peu »

Dans un récit drôle et émouvant, Cavanna raconte son enfance italienne des bords de Marne, sa « Ritalie Nogentaise » comme il aimait à l’appeler. Le bonheur populaire, l’élégance prolétaire, la richesse des humbles dans toute sa splendeur. Les personnages de Cavanna ont la noblesse de « gens de peu ».

« Les ritals » revient sur l’émigration italienne en France, comme un besoin de mémoire, pour rappeler l’un des plus importants mouvements migratoires en France. A l’heure de la crise de l’immigration dans nos sociétés, l’histoire prend une résonance particulière. L’humanité de personnages faite de cruauté et de tendresse, d’égoïsme et de générosité, nous aide à comprendre le difficile chemin de l’intégration.

Imprégnés de cet héritage italien, Bruno Putzulu et Grégory Daltin offrent une dimension humaine rare et riche d’émotion. L’humour est toujours présent. La musique aussi. Car les ritals, c’est jamais sans l’accordéon, ce compagnon de voyage, parfois même l’unique bien qu’ils choisissaient d’emmener avec eux quand ils quittaient leur terre natale.

Distribution
D’après le roman de : François Cavanna
Mise en scène : Mario Putzulu
Avec Bruno PutzuLu
Musiques : Grégory Daltin
Accordéon : Aurélien Noël
© C. Gasnier

Tarif préférentiel pour les membres de La Dante Alighieri (disponible au guichet ou par téléphone)

Presse
« Ce spectacle est à voir absolument. Un moment de grâce. » Journal de France 3
« Performance toute en finesse de Bruno Putzulu » Charlie Hebdo
« Entre rires, émotions et révoltes, Les Ritals est un spectacle magistralement interprété par Bruno Putzulu » info-lux.com
« Une belle réussite Théâtrale » Télérama
« Bouleversant. Un spectacle sublime. » La Provence
« Quand on sort on essuie le coin de son œil » Paris.fr

THÉÂTRE

Vendredi 17 Janvier à 20h45

LE HORLA

- Cie Simone Jacques -

Adaptation Julien Gélas

« Et si le Horla était une Intelligence Artificielle ?»

Là où Guy de Maupassant nous raconte le destin tragique d’un homme aux prises avec un être invisible, Julien Gélas modernise le propos et fait planer l’origine de cette menace sur Anxia, une Intelligence Artificielle créée par le protagoniste.

Tout se déroule parfaitement pour Lui. C’est bientôt le salon de l’innovation où il doit présenter « Anxia » une Intelligence Artificielle particulièrement innovante et dotée de capacités encore jamais vues. Tout va pour le mieux. Sauf qu’il a de la fièvre. Et que quelque chose l’angoisse. Quelque chose d’invisible, d’impalpable, d’incroyable. Une sorte de présence qui se nourrit de Lui pendant qu’il dort. A-t-il perdu la raison ? Heureusement pour Lui, il peut compter sur Anxia, son amie présente 24h/24, pour l’aider à déceler ce mystère. Mais plus son état se dégrade et plus il va soupçonner Anxia de lui vouloir du mal.

Et si le Horla (hors-là) était aujourd'hui une intelligence artificielle ? L’univers numérique ne finit-il pas si souvent par nous mettre hors de là où nous sommes ? Hors de notre présent vivant ? Et si la virtualité de l'intelligence était devenue cet être créé par l'homme qui en retour le dépossède de lui-même ?

Distribution
D’après : Guy de Maupassant
Adaptation : Julien Gélas
Mise en scène : Laura Charpentier
Avec : Guillaume Loublier

Presse
« Une version innovante et réussie de ce grand classique » La Provence
« Une proposition efficace et convaincante de Julien Gelas » Le Bruit du Off

THÉÂTRE

Mardi 4 et Jeudi 6 Février à 20h45

DUEL RÉPUBLICAIN

- Cie CDO -

Un spectacle d'André Neyton

«Les trompe-la-mort de l’an 2»

Un bourgeois est arrêté en pleine Révolution française dans le Midi où les grandes villes se sont révoltées. Une confrontation s’engage avec son accusateur, Barras, représentant du Pouvoir. Ce bras de fer entre républicains qui oppose deux visions de la société l’entraînera dans une épreuve au terme de laquelle se profile la menace de l’échafaud. Le rebondissement de la grande histoire dans la petite décidera du destin de l’accusé. La pièce est inspirée d’une histoire vraie aux multiples résonances contemporaines.

Distribution
Texte & Mise en scène : André Neyton
Avec : Jacques Maury, Xavier-Adrien Laurent
Directeur technique : Michel Neyton
Costumière : Isabelle Denis
Musique : Miquèu Montanaro
Vidéaste : Hélène Bez
© G. Bénichou

Presse
« La pièce se déploie avec une splendide fluidité. Les répliques fusent, étincelantes et percutantes. L’histoire devient le théâtre du monde. Jacques Maury et Xavier‐Adrien Laurent, visiblement touchés par la force de ce face‐à‐face, le portent jusqu’à son point d’incandescence. » JF Principiano - La Marseillaise

THÉÂTRE

Vendredi 28 Février à 20h45

DU DOMAINE DES MURMURES

- Cie Théâtre de l’Étreinte  -

Prix Goncourt des lycéens 2011
Mise en scène William Mesguich

« Elle est le livre des mondes …»

Elles étaient des milliers et pourtant si peu de récits témoignent de leur existence hors norme : les Recluses, ces femmes qui choisissaient de vivre emmurées pour prier Dieu jusqu’à la fin de leurs jours. Cette histoire retrace la vie encore brûlante de l’une d’entre elles. Refusant la noce imposée par son père, la jeune Esclarmonde s’offre à Dieu et exige de vivre emmurée jusqu’à sa mort. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe, ni du voyage que sera sa réclusion. Témoin et actrice de son siècle, elle se révèlera plus vivante que jamais, et soufflera depuis son réduit sa volonté, illuminant l’âme et le cœur de ceux que la vie a fracassés.

Le Domaine des Murmures est un refuge pour le cœur, une plongée dans la grâce, l’humilité et le partage du cœur. Cette œuvre chargée de puissance poétique nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, et met en lumière le chemin initiatique de celle qui porte en elle la mémoire de toutes les femmes de son temps. Elle devient, à la face du monde, un rempart contre l’obscurantisme ancestral qui humilie et dévaste. Elle est celle qui porte la parole d’espoir, celle qui célèbre la brûlance des désirs enfouis. Elle est toutes celles qui crient en elle. Elle est le corps de toutes les femmes laissées pour compte.
Elle est le livre des mondes.
Aujourd’hui encore, son fantôme murmure son fabuleux destin à qui sait tendre l’oreille…

Distribution
Texte : Carole Martinez
Mise en scène et lumières : William Mesguich
Adaptation, jeu, Scénographie : Jessica Astier
Création musicale et sonore : Tim Vine
Costumes : Alice Touvet
Construction : Grégoire Lemoine
Création vidéo : Mehdi Izza
Régie : Patrice Hennequin
© Photolot

MUSIQUE

Samedi 15 Mars à 20h45

DUÒ LAVOÀ-LAPÒ

- Cie du Lamparo -

Dans le cadre du cinquantenaire de l’IEO 83

« les cordes de l’âme et les tambours de la joie»

Le renouveau de l’occitan, les vocalités populaires, la recomposition d’un imaginaire tronqué et l’épanouissement de ce dernier dans la modernité amènent aujourd’hui les deux chanteurs-percussionnistes à ce nouveau projet musical. Partis d’un répertoire indatable qui balade l’Occitanie dans tous les recoins de leur fantaisie, ils échafaudent l’idée que deux chants et deux percussions peuvent dire, susciter et révéler. Leur unisson charnel et précis explore les mélodies traditionnelles et la polyphonie emprunte aux passions méditerranéennes. Un artisanat lyrico-festif qui échappe aux normes de la consommation de masse.

Les pièces sont issues du corpus des « Chants populaires de la Provence » mais proviennent aussi de collectages, d’écrits et d’inventions des musiciens du duo. Ils célèbrent la renaissance, l’éveil à la beauté vivifiante du monde. Les rythmes basiques collent au texte et à l’âpreté des vies si présente dans l’histoire populaire qui nourrit la chanson traditionnelle des Pays d’Òc.

Distribution
Avec : Damien Toumi & Mànu Théron
(c) photo : G. Masserano

THÉÂTRE

Vendredi 21 Mars à 20h45

L'HOMME ET LE PÊCHEUR

- Cie Teatro Picaro -

Prix coup de cœur de la presse Avignon Off 2023

«Du Théâtre qui rend heureux »

Sur un ponton suspendu, un homme, la corde au cou et une pierre à la main, croise un pêcheur à l’air mystérieux. La discussion qu’ils engagent révèle assez vite que rien n’est comme il paraît. Et l’on passe de la tragédie qui amuse à la comédie qui fait réfléchir.

Cette comédie inspirée du théâtre surréaliste questionne la relation de chacun avec son propre monde intérieur : ses rêves, ses peurs, ses désirs, ses besoins. Elle évoque également, avec ironie et humour, l’avenir qui peut glisser entre nos mains à force de compromis et de renonciations. Comment peut-on avoir l’impression d’être simple spectateur de notre propre existence ? Pourquoi ce paradoxe de l’être humain qui consiste à devoir perdre ce qu’il possède pour en mesurer la valeur ? Les frontières qui séparent la réalité de la fantaisie, le passé du futur, le comique du tragique, sont de plus en plus floues. Où sommes-nous ? Dans la vraie vie ? Dans une salle de théâtre ? Ou dans les méandres d’un esprit torturé ?

Distribution
De Jean-Marc Catella, Ciro Cesarano et Fabio Gorgolini
Mise en scène : Ciro Cesarano
Avec : Ciro Cesarano et Paolo Crocco
Dramaturgie : Jean-Marc Catella, Ciro Cesarano et Fabio Gorgolini
Direction d’acteurs : Fabio Gorgolini
Lumières : Orazio Trotta
Décor : Claude Pierson
Costumes : Isabelle Deffin
Musique : Matteo Gallus

Presse
« C’est du théâtre, celui qui parle à tout le monde et laisse en héritage une réflexion sur soi, sur sa vie, sa mort, l’empreinte laissée ou pas. Et l’on en sort léger. » Vaucluse Matin
« L’écriture est très fine, pleine de subtilités, de poésie » L’info tout court
« Un travail de très haute qualité sur le plan du texte, du geste, des pantomimes et des acrobaties. Un moment inoubliable » Almada Theatre Festival - Portugal
« Du théâtre qui rend heureux » Plus de off

THÉÂTRE

Vendredi 28 Mars à 20h45

LES VOILES ÉCARLATES

- Cie Franche Connexion -

« On laissera pas nos poings mourir »

Non, je ne laisserai pas le vent de l'indifférence et de la désinformation ensabler tes rêves, papa. Je ne laisserai pas les idées reçues réduire à néant ces années de lutte auprès des sans le sous. Je ne laisserai pas un homme fatigué et exsangue croire que toute cette lutte fut vaine. Même s’il faut te mentir, même s’il faut te fabriquer pour une heure, un monde sur mesure. A la mesure de tes rêves. Même s’il faut se mentir, on fêtera la victoire, l'avènement d'un possible auquel tu crois, auquel je crois car oui, je suis communiste. C'est ainsi, tour à tour malédiction ou bénédiction, c'est un fait. Communiste.

Alors je vais raconter une histoire, celle d'un homme qui chemine et qui s'accroche à un rêve et vit un cauchemar. Le rêve de voir naître un monde meilleur empli de puissance et d'amour. Le cauchemar d'une désespérance. Alors, quand mon père a laissé peu à peu échapper ce qui lui restait de raison et d'éclat, quand le chagrin et la maladie ont pris possession de son cerveau si brillant, quand c'est le temps lui-même qui insultait sa patience, j'ai menti à mon père pour qu'il s'endorme en paix. Pour qu'un combat au moins soit gagné.

Rêver n'est pas un mal, rêver n’est encore moins un crime.
Pour que ce vieux luttant fatigué s'endorme sa mission accomplie.

Distribution
Texte et Mise en scène : Stéphane Titelein
Musique : Charlie Giezek , Antoine Chartier, Timothée Couteau
Régie : Vincent Thomas, Vincent Thiriez
Scénographie : Vincent Thomas
Vidéo : Antoine Chartier
(c) Kalimba

DANSE

Vendredi 18 Avril à 20h45

CARMEN

- Cie Un chat sur le toit -

«Elle te ressemble bien plus que tu ne le crois »

Carmen résonne en nous comme la femme qui sort des stéréotypes, qui refuse de rentrer dans le corset serré du carcan de la société. Le nom de Carmen résonne aux oreilles de générations entières, au travers de chefs-d’oeuvre explorés par nombre de metteurs en scènes, chorégraphes, écrivains et artistes en tout genre. Mélanie Dufrier choisit ici d’apporter une vision féministe et engagée à cette oeuvre. .

Si l’amour est un oiseau rebelle, Carmen l’est encore plus. Et même la mort qui rôde autour d’elle ne peut arrêter ses envies de liberté. Elle va, elle danse, elle embrasse et repousse. Et alors ? Elle est femme et mérite la mort. Carmen rayonne, alors, prends garde à toi, car elle te ressemble bien plus que tu ne le crois...

Distribution
Chorégraphie : Mélanie Dufrier
Musiques : George Bizet, Nicholas Britell, Julieta Venegas

THÉÂTRE

Vendredi 25 Avril à 20h45

FRIDA ET DALI, FRIDALILOGUE

- Cie Choeur d'Arty Show -

« La rencontre de deux génies»

« Frida et Dali » réunit deux des figures les plus emblématiques de l'art moderne : Frida Kahlo et Salvador Dali. Un dialogue imaginaire s’engage entre ces deux génies de l'art surréaliste, offrant une plongée fascinante dans leurs univers artistiques et personnels. Bien qu'ayant évolué dans des contextes différents, ils partagent une vision artistique profondément personnelle et révolutionnaire. Ces deux grandes figures du 20ème siècle aux contrastes flagrants allaient forcément entrer en collision, nouer une relation houleuse faite de mépris et d'admiration, de rejet et d'attraction. Elle, immobilisée dans sa chaise roulante, lui, gesticulant autour d’elle, ils échangent sur leurs traumatismes, leurs croyances, leur rapport aux autres. Une approche révulsive, un dialogue dantesque plein de fulgurances et d’humour avec de larges gestes en coups de pinceaux, des éclats de rire, un tourbillon verbal, des envolées incandescentes, des répliques indécentes.
La lionne et le léopard réunis par l’amour commun de l’art.

Distribution :
Mise en scène : Dominique Fataccioli
Avec : Jean-Baptiste Brucker, Codrina Pricopoaia
Costumes : Eddie Corps, Eliana Quittard
Régisseur : José Joilan
Scénographe : Brigitte Bloch-Tabet, Patrick Bouvier, Dominique Fataccioli

Presse :
« Codrina Pricopoaia jouant Frida capture parfaitement la force, la vulnérabilité et la passion de l'artiste mexicaine, tandis que Jean-Baptiste Brucker interprétant Dalí réussit à transmettre la flamboyance et l'excentricité du maître espagnol. /…/ Le spectacle invite à une réflexion profonde sur la nature de la création artistique, la douleur et la beauté, et le rôle de l'art dans la vie des individus. » RegArts

LECTURE THÉÂTRALISÉE

Samedi 10 Mai à 16h

PROV'OC - 8E EDITION

- Didier Maurell & Sophie  Neyton -

« De Tartuffe à Don Juan »

LES BIGOTS

S'il est un auteur provençal absolument méconnu, c'est bien Jean de Cabanes de Viens. Pourtant parmi les nombreux manuscrits qui restent à déchiffrer, il y avait une pièce dont le titre n'était, à priori, pas très excitant : « Les bigots ». La curiosité de Didier Maurell, professeur agrégé des Langues de France, spécialité occitan, fut néanmoins aiguisée. Il dut d'abord transcrire la pièce puis la traduire. Elle se révéla un chef d'œuvre. Jean de Cabanes de Viens s'inspire directement du Tartuffe et du Don Juan de Molière. L'analyse de la structure des personnages la rapproche étrangement de l'Othello de Shakespeare. L'action se déroule à Aix, au 17e siècle. La pièce sera lue en français avec quelques courts passages en provençal.

La lecture sera suivie d'une seconde partie musicale dont les informations seront communiquées ultérieurement.

Distribution :
Texte : Jean de Cabanes de Viens
Traduction : Didier Maurell
Avec : Didier Maurell et Sophie Neyton

THÉÂTRE

Mai (date à préciser)

LES EMBARQUÉ(E)S

- Cie C'est la Goutte d'eau -

ÉVÉNEMENT HORS LES MURS

« Invitation à partager l’horizon »

Dans le cadre de sa programmation, le Théâtre de la Méditerranée organise un événement Hors les murs de l’Espace Comedia en proposant une forme de spectacle contemporaine et innovante à bord de l’Hétérotope, un voilier-théâtre qui a déjà parcouru plusieurs ports d’Europe.

Cette pièce embarquée est née de deux années de rencontres avec les populations des zones portuaires abordées par l’Hétérotope. Elle met à l’honneur les grandes navigatrices, des premières circumnavigatrices aux pionnières de la croisière de plaisance, en passant par les femmes pirates ou les capitaines-courage qui commandent les bateaux de sauvetages. Elles voguent de port en port, pour inviter à respirer l’air du large, celui qui nous gonfle d’envies, celui qui ramène sur les rivages nos rêves froissés de l’enfance. Dans leurs cales, il y a le sel de la vie, le vent de l’envie, le fil de l’eau. Il y a des amarres à déferler, retendre, larguer pour hisser les voiles de la liberté et faire reculer l’horizon. Dans l’intervalle suspendu d’une escale, elles chantent les navigatrices qui ont trouvé l’audace de tutoyer l’horizon. Leurs escales sont des appels au voyage, à la rencontre, à l’autre, à l’inconnu, à l’étranger, tous ceux qui peuplent leur littoralité.

Distribution :
Texte : Mandine Guillaume
Mise en scène : Emilien Urbach
Création musicale : Clément Althaus
Avec : Emilie Jobin, Caroline Fay, Mandine Guilaume et Jérome Kocaoglu

Pour des raisons d’organisation, la date et le lieu de l’événement seront communiqués ultérieurement.

Presse :
«Cette aventure, symbole d’art et de transmission, est avant tout une expérience humaine. Un moment mêlant histoire, théâtre, musique et message de liberté. /…/ Pour illustrer l’inconditionnelle liberté, existe-t-il meilleur paysage qu’un bateau avec, en guise de toile, un port, laissant entrevoir une multitude de navires aux allures singulières, appelant au rêve et à l’imaginaire ? » Nice-Matin

Le nombre de places étant limité, vous pouvez pré-réserver votre place via le formulaire ci-dessous. Vous serez avertis en priorité de la date et du lieu de l'événement, et serez prioritaires lors de l'ouverture des réservations.

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